Petite réaction (mieux vaut tard que jamais).
Tu dis, comme beaucoup de catholiques, « Le préservatif, aussi fiable qu’il soit, induit un sentiment de sécurité qui encourage les comportements sexuels à risque et la débauche. »
Donc si le préservatif n’existait pas, les gens seraient plus chastes car ils auraient peur de la maladie ?
Ne serait-il pas triste que la chasteté, au lieu d’e^tre un choix réfléchi, soit une réaction de peur ? Qu’on évite de tromper son conjoint non parce qu’on le/la respecte, mais parce qu’on a peur du SIDA ?